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Du génogramme au
génosociogramme 

Cabinet de psychogénéalogie Catherine Patier – Compreignac (87)

Une autre façon de regarder votre histoire

En psychogénéalogie, on ne se contente pas de remonter l’arbre généalogique.
On l’observe, on l’écoute, et surtout… on le comprend autrement. 
C’est là que le génogramme intervient.

Il se trace à la main, avec des symboles et des couleurs. Il montre qui est qui, où chacun a vécu, les dates, les métiers, et les événements marquants qui ont traversé la famille : maladies, deuils, migrations, ruptures, silences…
C’est une porte d’entrée vers ce qui vous a précédé.

Le génosociogramme : quand l’arbre prend vie

Le génogramme devient un génosociogramme dès qu’on y ajoute les liens, les distances, les émotions,
et tout ce que la famille transmet sans toujours le dire.

Ce que cela permet

Le génosociogramme met en lumière :

  • les répétitions,

  • les loyautés familiales,

  • les schémas qui reviennent,

  • les zones sensibles,

  • les ressources de votre lignée.

On comprend ce qui se rejoue, et ce qui demande peut-être à s’apaiser.

Un outil simple, mais souvent révélateur

Nous explorons ensemble quatre générations, puis nous zoomons sur ce qui a besoin d’être vu.
Parfois, j’utilise des calques pour isoler un thème, ou des objets symboliques pour représenter les liens autrement.

Pourquoi cela fonctionne

Parce que le génosociogramme donne du relief à votre histoire familiale.
Il relie le visible et l’invisible, le dit et le non-dit. 
Il permet de reconnaître les héritages émotionnels
et de reprendre votre juste place.

Un espace pour voir clair et avancer

Ce travail ouvre une compréhension nouvelle : ce qui vient de vous, et ce qui vient d’avant vous.

Avec douceur, précision, et toujours dans un cadre sécurisé, le génosociogramme devient un support pour transformer, et parfois même pour respirer enfin autrement.

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